Visite et arrive là par hasard (libre)

*lui fait un petit sourire coquin*

-Ah, je ne sais si je saurais honorer cette promesse, mais je ferai mon possible.

*lui adresse un clin d'oeil en riant*

-Vous verrez, cette petite est un enchantement à elle seule.

*sourit*

*éclate de rire*

- N'ai je pas déjà devant moi la petite Marie Christine ?? Si le dicton "telle mère, telle fille" se vérifie, alors je ne vous dis qu'une seule chose : l'ambiance doit être bonne de part chez vous !!!

*imagine tout à fait le "petit ange d'enfer"*

-je n'en doute pas !! J'espère simplement qu'elle ne prend pas peur des inconnus, je serais déçue de ne pas pouvoir l'approcher !!!

*rit avec elle*

-Oh, vous allez l'adorer, j'en suis sure! Vous avez l'air d'affectionner les enfants.

*lui sourit tendrement en pensant à sa fille*

-Non, vous verrez, elle est très sociable. Elle se jetterait dans les bras de n'importe qui...

*un peu émue par sa remarque*

-oh oui je les affectionne tout particulièrement....

*la regarde et ne sait trop pourquoi mais l'envie tout à coup, elle ressent elle aussi l'envie d'être mère, de donner la vie et de marcher sur ses vieux principes poussièreux !!!*

*sourit en imaginant la scène*

-je me ferai une joie de la câliner un peu !!!!

*grand sourire*

-eh bien, je suis certaine qu'elle aussi apprécierait. Ce sera donc avec joie que nous vous recevrons rue Tarane ma chère Françoise.

*la regarde amicalement*

-Et j'espère qu'un jour vous viendrez m'annoncer que vous serez maman à votre tour.

*prend mentalement note de l'adresse*

-bien, je tâcherai de m'en souvenir, et dès que le temps me le permet, je viendrai à vous !!

*regarde le ventre à Athé, puis le sien, son regard se voile soudainement*

-oh je...

*fais quelques pas dans la pièce*

-je l'espère aussi, mais il me manque l'essentiel pour l'instant....

*sourit à sa réponse*

-Je l'espère! je vous attends déjà avec impatience...

*la voit soudainement un peu triste*

-Oh, mais je suis certaine que vous trouverez bien vite. Vous êtes ravissante, et tous les courtisans doivent être pendus à vos jupes.

*lui sourit*

*continue de faire quelques pas, pensive, touchée par le sujet de la conversation qui l'atteint au plus profond d'elle même*

*tourne la tête à son compliment*

-je vous remercie, mais je crains fort que vous êtes la seule de cet avis...

*secoue la tête*

-je pensais pouvoir refaire ma vie...

*pensée pour Scarron, bien vite envolée*

-mais je me demande si j'y parviendrai....

*retrouve lun semblant de sourire*

-je vais essayer pour l'instant de profiter du présent et si je dois finir eule le restant de mes jours, c'est ainsi !!!!

*mais elle dissimulait difficilement l'envie qu'elle éprouvait de pouvoir être à la place d'Athénais*

*un peu surprise par ses paroles*

-Allons, ma chère, pourquoi tant de pessimisme? Vous savez, les plus belles rencontres sont celles qu'on n'attend pas. Par exemple, voyez-vous, j'ai rencontré mon mari à la sortie d'un tribunal... ce fut le coup de foudre. Une semaine après, nous nous mariions.

*lui sourit*

*l'écoute d'une oreille attentive, bien que tournée vers la fenêtre*

*lui fait face à nouveau*

-oh ? quelle belle histoire ! digne d'un conte de fées...

*sourit rêveusement*

-c'est bien ce que je vous disais ma chère, je ne cherche pas... je... je devrais peut etre aller roder du coté du tribunal...

*sourit avec tendresse*

*puis éclate de rire*

-Oui, pourquoi pas!

*rit*

-Mais tout de même je ne vous le conseille pas.

*fronce le nez*

-à bien y réfléchir, je crois avoir parlé trop vite ...

*hausse les épaules*

- que cette attente me parailt longue !!!!

*ose, avec une moue friponne*

-n'auriez vous dans votre cercle quelque connaissance à me présenter ma chère ???

*petit sourire espiègle*

-en effet.

*la regarde en réfléchissant*

-eh bien... oui c'est possible... j'y réfléchirai et vous tiendrai informée.

*petit clin d'oeil complice*

*fait la moue*

-je vous remercie bien chaleureusement ! mais ne me voyez pas non plus comme une femme déprimée voulant se jeter dans les bras du premier homme venu !!!

*se sent un peu gênée de s'être livrée de la sorte*

-et puis, vous avez des choses bien plus importantes à penser pour l'instant !!

*éclate de rire*

-Allons Madame, jamais je n'aurais pensé cela de vous, voyons !

*sourire espiègle*

-oh, ne me cherchez pas des occupations quez je n'ai point, jue peux bien rendre service à uen amie.

*sourire complice*

*Françoise éclata franchement de rire et se cacha de rougir dans ses mains, geste inutile et futile en réalité, mais réflexe féminin..*

-bien, nous sommmes entendue sur la définition de "service"... et vous savez où me trouver !

*elle ne voulait pas montrer combien elle attendait en fait de cette vie versaillaise ! que les jours lui paraissait longs... lorsqu'elle était mariée, elle avait eu quelques demandes plus ou moins insistantes, qu'elle avait repoussé, et maintenant qu'elle était libre, celles ci se faisaient désirer ! mon dieu que le monde était étrange !! mais au jeu du "cache-cache", elle était bien décidée à gagner la partie !*

-l'occupation que j'évoquais est pourtant bien réelle..

*dit elle en pointant du menton son bedon, pour revenir à un sujet de conversation plus.. banal...*

*sourit de la voir rire ezt rougir ainsi*

*la trouve mignone et bien innocente malgré son âge*

-En tout cas, la vie à la Cour va vous changer, vous verrez, c'est... très différent, et très grisant... Et je suis bien désolée de ne point pouvoir vous accompagner dans vos prmeiers jours...

*la regarde d'un air un peu tristounet

*a retrouvé ses esprits et la pâleur de son teint*

*est touchée de cette tristesse pointant dans la voix de son amie*

-Voyons, qu'entends je ici même ?! Vous allez être mère, cela vaut bien toutes les festivités de la Cour ! Celle ci est unique, fabuleuse, et vous en serez l'étoile !! Allons donc, quittez moi cette mine qui n'est point de circonstance !

*Françoise se moqua d'elle même à parler ainsi, à l'entendre, on lui aurait donné quelques années de plus, et le 'quelque' n'était pas pesé !!*

-et puis, sachez que nous aurons ensuite tout le temps de nous rattraper !

*petit sourire à la réplique encourageante de son amie*

-Oh, je vous remercie, vous êtes un ange! Je pourrai croire que Dieu vous a mise tout exprès sur ma route!

*rit un peu*

-Ne vous en faites pas, je suis plus que ravie d'être mère d'ici peu... c'est juste que cette situation m'effraie...

*elle fût touchée de ce compliment : de jolies phrases elle en entendait tout le jour à la Cour, mais ces mots là étaient sincères, et cette louange inattendue ne fît que raviver le rouge de son teint à peine appaisé*

*elle détourna la tête, gênée*

-Allons allons ! En avez vous fini ? Je vais être obligée de me repoudrer ! Toutes ces éloges sont bien de trop !

*la prenant par le bras et marchant un peu*

*sérieuse*

-Oh mon amie, quel est votre tracas ? vous êtes bien entourée, et vous aurez toute l'aide nécessaire...

*sourit de la voir re rougir*

-Oh, ma chère, prenez donc mes compliments à leur juste valeur, vous les méritez, soiyez-en assurée!

*marche avec elle*

Si elle savait...

-Oh, ce serait bien long à vous expliquer...

*pince les lèvres et serre les poings contre ses hanches, tout en ne pouvant dissimuler un autre sourire*

-décidément, vous avez toujours le fin mot !!

*marchent donc un peu*

-Comme vous voulez ma chère, mais rappelez vous de ce que nous avons dit il y a quelque temps de cela... ne parlions nous pas... d'amitié et de franchise ?

*sur un ton très doux*

-Je ne veux point vous brusquer ou vous paraître indiscrète, mais sachez simplement que je suis à vos côtés ...

*A sa première phrase, a un petit rire*

-Oui, il parait que c'est un de mes défaut, de toujours avoir le dernier mot...

*rit*

-Oh François,e vous êtes si bonne avec moi. N'ayez crainte, je ne vous cache rien, mais je suis un peu fatiguée et je n'ai guère envie de m'étendre sur de vastes sujets...

*lui sourit*

*acquiesce d'un hochement de tête*

-vous ne m'aprenez rien en disant cela ! Mais... vous parlez ici d'un défaut, que je requalifierais volontiers en qualité ! S'il faut savoir être, il faut également savoir parler pour bien vivre à la Cour !

*elle avait mumuré sa dernière phrase, dite alors sur le ton de la confidence..*

-Comme vous le voudrez ma chère !

*piquée par la curiosité elle voulait toute de même respecter le souhait de son amie, et mit alors un frein à formuler d'autres questions*

*sourit à Françoise, comprenant que la curiosité lui (rulait les lèvres*

-Je vais m'en retourner, mais je vous invite à venir mpe voir à Paris chez moi afin de discuter plus longuement, qu'en pensez-vous?

*se lève doucement de son fauteuil*