La Mère Veyeuse
Nombre de messages : 31 Age : 55 Localisation : En cuisine... Date d'inscription : 24/02/2009
Feuille de personnage Âge du personnage: Grossesse: (0/0) Sentiments (Amours, amis, soucis...):
| Sujet: Chambre de la Mère Veyeuse. Lun 23 Mar - 16:47 | |
| Mère Veyeuse se dirige vers l’escalier extérieur qui jouxte la cuisine et arrive dans une pièce qui lui a été indiquée pour être sa chambre. Dans cette pièce de dimension moyenne, la flamme d'une bougie vacille sous les courants d’air et quand elle soulève son chandelier l’ombre des toiles d’araignées projette sur les murs de curieuses formes inquiétantes. Dans un angle, un lit recouvert d’une paillasse faite de feuilles de maïs, le long du mur une armoire qui avait le plus grand besoin de cire, une table et une chaise terminent le décor de la pièce. La poussière qui régnaient en ce lieu disait que nul n’avait habité ici depuis longtemps. Sous ses pas le parquet craque et les sons amplifiés par la nuit ajoutent au sentiment d’insécurité. Dormir dans une pareille pièce n’avait rien de bien attrayant, mais Kiki était fourbue, alors elle dépose son baluchon et ouvre l’armoire. Les portes grincent, mais elle y trouve quand même une courtepointe qui avait largement vécu. Pressée de trouver quelques repos elle se hâte de se déshabiller… Malgré l’état de cette chambre son cœur est léger. Enfin elle est à Versailles, et rien ni personne ne saurait la décourager. En souriant elle enfile sa chemise de nuit faite d’une toile de lin brodée par ses soins s’enveloppe dans la courtepointe, souffle la bougie et se laisser ancrer dans un sommeil de grande profondeur. | |
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La Mère Veyeuse
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| Sujet: Re: Chambre de la Mère Veyeuse. Lun 23 Mar - 17:03 | |
| Elle vient de se réveiller et au loin le cri du coq se fait entendre. Lentement elle s'étire dans le lit et se délecte de sa première nuit passée dans sa chambre. Quelques rayons de clarté s'immiscent sous le volet de la lucarne et sous la porte. Les contours de la pièce se font plus précis que la veille. Elle s'assoit sur son lit mais frissonne. Le presque printemps n'offre pas encore de chaleur, alors rapidement elle entame une toilette, se hâte de s'habiller. Elle couvre son lit non sans en avoir lissé les draps, et se promet de revenir bien vite pour entamer un ménage en profondeur des lieux, puis descend prendre son poste en cuisine. | |
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