Une deuxième rencontre ? (Pv : Françoiiiiise !!!)

HJ : mdr ! "je me comprend" lol !
HJ 2 : Ben là il va avoir du mal à hésiter plus longtemps xD

*Condé lui fit un grand sourire, voyant qu'elle semblait aussi apprécier cette rencontre... peut-être même autant que lui. Il s'imagina dans le futur, heureux, avec une dame qu'il avait rencontré par hasard dans les rues de Paris, qu'il avait revue chez Athénaïs et chez Madame... Un sourire se dessina sur ses lèvres, sans qu'il s'en aperçoive. Mais un mouvement de foule le ramena sur terre. Il se retrouva serra contre elle, tout près. Il s'attendait à ce qu'elle baisse la tête, qu'elle se pousse, mais elle resta là, un grand sourire aux lèvres. Il comprit alors qu'il ne lui était pas indifférent... Il la serra de ses bras, comme pour la protéger.*

-Oh faites attention à vous, il semblerai que les rues de Paris puissent être dangereuses !

*Il la regarda avec un grand sourire, ne sachant comment elle prendrai ce geste. Mais au moins elle saurait ce qu'il pense d'elle, depuis le début... depuis la première fois qu'il l'avait vue.*

HJ : wouaaaaaaaaaaaaaaou si c'est pas mimi !!!

*Le hasard semblait décidément de son côté, enfin, de leur côté à eux... Malmenée par ces passants qui semblaient les avoir retrouvé (c'était en fait la fin du marché!), plus petite que son galant interlocuteur, elle se retrouva donc entourée de bras forts et protecteurs, bien loin de s'en extirper, elle s'y blottit*

-J'aurais eu peur toute seule...

*Ce geste, ce conditionnel était sa façon à elle de lui répondre, encore trop timide pour parler ouvertement un langage qu'elle avait oublié depuis longtemps... Les mots d'Athénaïs mi revirent alors "prenez soin de vous"... elle allait le faire, ou plutôt, elle allait se laisser faire...Les instants passant la confortant un peu plus sur ce qu'ils pensaient tous deux de la situation, de ce qui se tramait depuis quelques temps... elle aurait voulu se serrer un peu plus encore, nicher sa tête au creu de son cou, mais elle se retint, préférant partager ce regard d'une intensité encore inconnue et qui valait toutes les paroles plus explicites...*

HJ : Oh ouiiiii !!! Ils sont beaux tous les deux mdr !!!

*Il ne la lâcha pas, la contemplant avec un si grand sourire qu'il fut étonné lui-même d'être capable d'en faire de si grands... De sa main, il entreprit de repousser une mèche de la jeune femme qu'il tenait contre lui, et qui lui tombait dans les yeux. Une fois celle-ci repoussée, il put se plonger dans ses yeux magnifiques, s'y perdre, oubliant les gens qui les entouraient, toutes les femmes qu'il avait connues, qui n'égalaient en rien celle-ci. Il oublia ses titres, son rang, son nom, sa famille, ne pensant qu'à elle et ne voyant que la femme avec qui il souhaitait aller plus loin, apprendre à la connaitre...
Il ne voulait pas rompre ce moment, qu'il trouvait si beau... Il aurait voulu qu'il dure toujours, ou qu'il aillent plus loin... Il n'osait cependant pas l'embrasser, de peur de la choquer et de gâcher ce si bel instant.*

*Françoise était intimidée, apeurée : apeurée oui de faire un geste qui aurait déplu, qui aurait pu être interprété comme le contraire de ce qu'elle pensait.. Il était si aisé de mal faire et si difficile de bien faire quand on le voulait vraiment... Le vent balaya une mèche de ses cheveux, mais une main bienveillante fit retrouver sa place à la petite friponne... Ainsi elle eu "le champ libre" (le regard libre^^) pour plonger dans cet océan sombre et mystérieux, pour retourner les miroirs de l'âme de cette homme qu'on raillait et qu'on jugeait facilement (bien trop facilement)... Puisque à ce moment même, elle ne savait plus qui lui tenait compagnie : ces bras qui la protgeaient, ces yeux qui la dévisagaient n'étaient pas ceux du Condé qu'elle pensait connaître, non c'était ceux d'Henri-Jules mais qu'elle ne connaissait pas encore... Elle était bien, très bien, ne pensait plus à rien, était simplement elle même, Françoise, une femme parmi d'autres, loin de l'étiquette, de la cour, des obligations...Sa seule angoisse était ce qu'elle devait faire de ses mains : en entourer le cou de son "sauveur" ? Non cela était trop impoli... alors elle en plaça juste une sur son bras, comme pour lui signifier qu'il ne devait pas le retirer et qu'elle était bien ainsi...*

*Puis innocemment et inconsciemment, elle approcha sa tête de la sienne, avec un petit sourire mutin...*